L’associationfemmes et mathématiques organise un speed-meeting en ligne les premiers mercredis du mois de 17h à 18h30 pour les lycéennes de la seconde à la terminale intéressées par les débouchés après des études à forte composante mathématique et/ou informatique.
Prochain speed-meeting pour les lycéennes le mercredi 4 octobre 2023.
Entre 17h et 18h30, les participantes seront en petits groupes (moins de 10) et rencontreront successivement 5 professionnelles qui parleront de leur parcours et de leur métier.
A l’issue de ces rencontres, il sera proposé aux lycéennes présentes d’être accompagnées par une marraine pour les aider dans leur réflexion sur l’orientation.
La fonction Python suivante prend en paramètre une liste L, non vide, de nombres entiers et renvoie un couple donnant d’une part le plus grand élément de cette liste et d’autre part la liste des indices de la liste L où apparaît ce plus grand élément.
La fonction Python suivante prend en paramètres une variable de type numérique et un tableau et renvoie le nombre d’occurrences de la variable dans le tableau.
Un arbre binaire de caractères est stocké sous la forme d’un dictionnaire où les clefs sont les caractères des nœuds de l’arbre et les valeurs, pour chaque clef, la liste des caractères des fils gauche et droit du nœud.
Par exemple, l’arbre ci-dessus est stocké dans le dictionnaire a = {‘F’:[‘B’,’G’], ‘B’:[‘A’,’D’], ‘A’:[ », »], ‘D’:[‘C’,’E’], ‘C’:[ », »], ‘E’:[ », »], ‘G’:[ »,’I’], ‘I’:[ »,’H’], ‘H’:[ », »]}
La fonction récursive Python suivante prend en paramètres un arbre binaire sous la forme d’un dictionnaire et un caractère lettre qui est la valeur du sommet de l’arbre et renvoie la taille de l’arbre à savoir le nombre total de nœud.
Pour la 3ème année consécutive, le lycée en Forêt, via les élèves participant à l’atelier MATh.en.JEANS, a participé au congrès annuel national MATh.en.JEANS qui s’est déroulé cette année sur le campus d’Orléans. Les élèves étaient répartis en 3 groupes ayant chacun un exposé à présenter dans un amphithéâtre rempli d’enseignants, de chercheurs et d’élèves provenant de nombreuses régions de France. Ces exposés ont été le fruit de leur travail de cette année et la finalisation de leur projet, en relation avec un enseignant chercheur de l’Université d’Orléans, Julien Barré.
Un groupe devait réfléchir sur les effets des changements de règles en tennis de table sur l’issue et la durée des matchs, un autre devait se pencher sur la composition des paquets de Dragibus et sur la probabilité d’obtenir des paquets identiques et un dernier groupe a travaillé autour du jeu « Les pierres de Coba » afin d’en identifier les stratégies gagnantes.
Chaque groupe s’est très bien comporté et a présenté un exposé clair et précis devant l’assemblée.
Sur le réseau social TipTop, on s’intéresse au nombre de « like » des abonnés. Les données sont stockées dans des dictionnaires où les clés sont les pseudos et les valeurs correspondantes sont les nombres de « like » comme ci-dessous :
{‘Bob’: 102, ‘Ada’: 201, ‘Alice’: 103, ‘Tim’: 50}
La fonction Python suivante :
prend en paramètre un dictionnaire dico non vide dont les clés sont des chaînes de caractères et les valeurs associées sont des entiers ;
renvoie un tuple dont la première valeur est la clé du dictionnaire associée à la valeur maximale et la seconde est la valeur maximale présente dans le dictionnaire.
Lundi 13 avril les secondes 13 et les secondes 2 ont rencontré Etienne Lécroart, auteur de bandes dessinées et illustrateur.
Etienne Lécroart, membre de l’Oulipo (ouvroir de littérature potentielle) et membre de l’Oubapo (ouvroir de bande dessinée potentielle) crée des bandes dessinées avec des contraintes mathématiques mais pas seulement.
En amont de la rencontre, les élèves ont donc découvert et étudié les mouvements de l’Oulipo avec Mme Cousin, leur professeur de français. Ils ont découvert l’Oubapo avec leurs professeurs de mathématiques Mmes Galmiche et Roser-Debouaisne à partir de la bande dessinée « Contes et décomptes » d’Etienne Lécroart.
Pour chaque classe, la rencontre a débuté par des questions des élèves au dessinateur et s’est terminée en atelier. En effet, les élèves ont créé une planche dessinée sous contraintes en utilisant le théorème mathématique suivant :
La somme des n premiers nombres impairs est égale à un carré, et plus précisément, à n2.
Par exemple, les 2 premiers nombres impairs sont 1 et 3 et 1 + 3 = 4 = 22, les 3 premiers nombres impairs sont 1, 3, et 5 et 1 + 3 + 5 = 9 = 32 …
Cette curiosité mathématique peut être illustrée de la façon suivante :
Ainsi, à partir d’une feuille vierge de 3×3 cases, chaque élève a donc dû dessiner la première case (la case orange sur la figure ci-dessus) à partir d’un sujet déterminé par deux mots tirés au sort (ex chevalier + gratitude /ou télévision + curiosité), puis chaque feuille a été passée à son voisin de gauche, celui-ci devant alors dessiner les 3 cases suivantes (les cases roses), en respectant un nouveau sujet avec 1 mot tiré au sort (ex vantardise ). Enfin, le 3ème élève a dessiné dans les 5 cases restantes (les cases violettes) avec un dernier sujet (ex mystique ou rire).
C’est ainsi qu’une trentaine de planches ont été créées à la façon de l’Oubapo, exercice ô combien difficile !
Les secondes 2, option Arts plastiques, forts de leur rencontre avec Etienne Lécroart, vont continuer l’aventure avec leur professeur Gilles Lebeau pour terminer les planches de bandes dessinées oubapiennes, ce qui donnera lieu à une exposition prochaine.
Quand littérature, mathématiques et arts-plastiques se rencontrent, la création va bon train !!!